Mon amour pour le cinéma (et quand est-ce que je l’ai rencontré)
- Pauline Codaccioni

- 26 juil.
- 2 min de lecture
Dernière mise à jour : 29 juil.
Hello et bienvenue dans ce deuxième article de blog !
La semaine dernière, j’ai évoqué brièvement mon intérêt pour le cinéma. Je vous avais dit que j’en parlerai dans un autre article. Eh bien, chose promise, chose due. Aujourd’hui, je vais vous parler de l’amour que je porte au grand écran, et d’où ça vient.

Avant tout, il faut savoir que je suis la dernière de la fratrie (oui, c’est moi la petite qui grimace sur la photo). L’un des avantages, c’est que tu passes beaucoup de temps avec tes aînés. Et souvent, tu fais comme eux. Résultat : petite, je me retrouvais bien plus souvent devant des films que devant des dessins animés. Et ça, c’était top ! (Bon… sauf quand tu te retrouves face à un film d’horreur pas franchement adapté à ton âge. ^^)
En plus des frangins comme influence, il y a mon père. Il nous a beaucoup, beaucoup traînés dans les salles de ciné. Puis, en grandissant, ma sœur m’y emmenait à son tour. Qu’est-ce que j’ai pu adorer ces sorties parisiennes…
Mais c’est pas la seule chose cool de mon enfance.
Il y avait aussi un bar dans notre maison. Vous voyez le genre de bar en briques, derrière lequel il y a des tonnes de bouteilles pour les fêtes de famille ?
Eh bien, chez nous, il était entièrement rempli de cassettes VHS (bim, petit coup de vieux pour moi en écrivant ça). Pour ceux à qui ça ne parle pas : une VHS, c’est un système vidéo qui te permettait de voir des films à domicile.
Pas d’alcool à la maison, mais de la bobine ! J’avais un peu l’impression d’avoir un Vidéo Futur dans mon salon. Bon, et là, si ça ne te parle pas, je te laisse aller chercher ce que c’est.

Bref, des films, j’en ai mangé.
J’ai toujours adoré me laisser porter par les histoires, le jeu des acteurs, les musiques, observer le moindre détail et entretenir une réflexion de plusieurs minutes, voire plusieurs heures, sur ce que je venais de visionner.
J’aime les émotions que ça transmet, les leçons que ça donne, les souvenirs que ça laisse.
D’ailleurs, est ce que ça vous est déjà arrivé, en sortant d’une séance, de vous sentir un peu comme le héros ou l’héroïne du film ?

Voilà, je crois qu’aujourd’hui vous avez compris pourquoi le septième art a une place importante dans ma vie et pourquoi mon amour pour le cinéma se prolonge jusque dans mes illustrations. Rejouer des scènes, faire revivre une ambiance ou un personnage sur papier, c’est ma façon à moi de revisionner le film.
Un jour, qui sait, mes dessins se retrouveront peut-être dans un magazine dédié au septième art ?
Sur ce, le vidéoprojecteur* chauffe, les pop-corps m’attendent…faut que je fil(m)e.
À la prochaine !

* Merci mon super frangin pour ce cadeau (oui, je sais, je l’ai déjà dit mille fois. Eh bien voilà la mille et unième).



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